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    Gilles LEGARDINIER est un auteur dont je vous avais déjà parlé ici à propos de "Demain, j'arrête"

    J'avais vraiment adoré ce premier livre lu de lui, et c'est chaque fois un plaisir de se laisser porter par ses personnages. Il ne m'a jamais déçue. Des amis à qui j'en ai parlé sont devenus accros eux aussi, et nous faisons des échanges.

     Nous avons lu Complètement cramé ! (2012), Et soudain tout change (2013), ça peut pas rater! (2014), Quelqu'un pour qui trembler (2015).

     

     

    Avec joie, j'ai vu que j'avais dans ma liseuse "Le premier miracle".

    Cet ouvrage (Flammarion 2016) est dans un style différent des cinq premiers que j'ai lus. Il est beaucoup plus gros, et il mélange allègrement la mythologie, l'histoire, l'espionnage, l'alchimie, l'ésotérisme, etc... le tout agrémenté de son humour habituel.

    Tout au long de ma lecture, je pensais au mythe de la toison d'Or, à la quête du Graal, et aussi un peu à James Bond ! Plus j'avançais dans ma lecture, plus je me réjouissais qu'il me reste encore beaucoup de pages à lire.

    J'ai abandonné toute idée de démêler les faits historiques réels et la fiction. Mais l'auteur a pensé à tout, et après avoir fini le livre, on peut trouver des explications.

     

    Encore de la lecture

     

    Récemment Gilles Legardinier a écrit, avec Mimi Mathy, un livre sur la différence.

     

    D'après l'éditeur, c'est un roman. Connaissant les deux auteurs, je me dis que ce livre doit être fort intéressant à lire.

     

     

     

     

     

     

    Gilles Legardinier est l'un des auteurs français les plus lus, mais il n'est pas très connu du public : comment comprendre ça ?

    Je vous souhaite plein de lectures dans un bel été.

     

     

     

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     Je suis atteinte d'une drôle de maladie. Bien que mon jardin soit surchargé de plantes, de semis spontanés, de boutures, de tout ce qui peut se multiplier, je passe mon été à ramasser toutes les graines que je rencontre, chez moi ou ailleurs.

     

    Explications

     

    Ici mes grappillages des derniers jours, et c'est ainsi durant des mois. Sur ma table, il y a lupins, pavots de l'Atlas (ou d'ailleurs), pavots d'Orient, bleuets (centaurea montana)blancs, bleuets bleus, ancolies, auxquels j'ai rajouté des soucis de l'an dernier.

     

    Je dépiautais mes gousses de lupins (les grandes tiges à gauche de la photo, avec de grosses cosses grises quand elles sont mûres), et je me disais "ça ressemble aux petits pois mais c'est tout velu, heureusement que ces poils ne piquent pas". Et là, j'ai bien regardé. Ces poils font une jolie fourrure, avec un sens, comme les poils animaux ou humains.

     

    Explications

     

    j'ai juste posé la cosse sur mon agenda orange, car on ne voyait pas bien sur ma toile cirée grise.

     

    Explications

     

    Explications

     

    Et voilà comment, de grossissement en recadrage, et retournement, j'en suis arrivée à "Euréka" ! Un petit jeu à vous proposer.

    Quand Macha se promène dans mon jardin, elle fait plein de jolies photos de détails que je n'avais jamais remarqués. C'est vrai qu'on ne regarde pas bien autour de soi : ça doit faire 16 ans que je ramasse ces graines, et je n'ai bien observé que cette année.

    Il n'y avait rien à gagner, mais si des graines vous intéressent, demandez-moi. J'ai aussi roses trémières, digitales, et plein d'autres.

    Merci à tous d'avoir essayé. Je vous avoue que je n'aurais pas trouvé moi non plus.

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    Jolie fourrure ?

     

    J'ai trouvé ça joli, et je me suis dit que j'allais vous demander de quoi il s'agit.

    Cékoissa ? ? ?

     

    J'ai plein d'idées d'articles, ou même d'articles commencés, mais mon cerveau n'est pas très performant ces derniers temps.

    Alors, je joue. Vous aussi j'espère.

    À très bientôt

     

    Les explications sont ici.

     

     

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    Je reviens juste d'un bref aller et retour dans les Landes. Je n'ai pas pu m'empêcher d'aller, encore une fois, faire un tour à Mimizan pour voir comment était la "Promenade fleurie" en ce début juillet : magique. C'est comme si on allait au spectacle, avec des costumes magnifiques et différents à chaque tableau.

    Je m'aperçois, en regardant mes photos, que je n'ai pas pris les plus belles fleurs, les plus beaux ensembles, mais seulement ce que je ne connais pas, ou ce qui m'étonne le plus. J'en suis à ma cinquième visite, et mes yeux sélectionnent.

     

     

     

    Dès le passage du pont, on est dans l'ambiance. Un bel hydrangea bleuté, au beau feuillage panaché, a attiré mon regard.

     

     

    Une idée générale de la promenade : des arbres en fond, et un habile mélange de plantes plus ou moins hautes, vivaces pour la plupart. Même si, par-ci, par-là, il y a quelques annuelles.

     

     

    Solanum Willandii

     

    Plectranthus ? si c'est ça, encore une découverte. je ne connaissais pas cette variété si florifère.

     

    Arbre inconnu de moi.

     

     

    Je suis fière de conserver un platycodon depuis des années. Mais il m'arrive aux mollets, alors que celui-ci doit bien m'arriver à l'épaule !

     

     

     

     

     

     

    Une des trouées sur le lac.

     

     

    Superbe floraison de l'erythrina crista galli, que je n'avais jamais vu de ma vie.

     

    Des touffes géantes de lis géants...

    CathyRose m'a fait douter. mais Marithé a mis un lien en commentaire : ce sont des crinums (dont j'ignorais l'existence)

     

     

    Quelques fleurs du bassin des nénuphars.

     

     

    Une vue du récent aménagement de plantes d'ombre.

     

     Il y a un monde fou sur les échinops.

     

    Et d'autres bestioles en grand nombre  partout ailleurs. Je rappelle qu'il y a un bel hôtel à insectes dans ce jardin.

     

    Qui a mangé cette plante ?

    Encore une fois, je fus très impressionnée par ma visite. Même jardin, mais toujours différent. Merci à la municipalité qui nous offre cette promenade, et bravo aux jardiniers qui sont très bons.  Il n'y a pas un brin d'herbe, tout est florissant quelle que soit la saison. Et surtout, quelle variété !

    Il faudra que je m'amuse à faire des photos de certains endroits à chaque visite, et que je compare.

     

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    La montagne où je vis est parsemée d'ouvrages ( barrages, conduites forcées, téléphériques, etc...) construits pour les travaux visant à faire descendre l'eau vers des centrales hydroélectriques.

    La centrale la plus connue, car la plus ancienne et la plus importante, est celle de Pragnères achevée en 1954. Si vous allez du côté de Gavarnie, vous ne pourrez pas la louper car elle est au bord de la route.

    Je pense à ça aujourd'hui, car nous y sommes passés hier.

     

     

    La cueillette de l'eau

     

    La cueillette de l'eau

     

     

    La cueillette de l'eau

    Ci-dessus, vous devinez une conduite d'eau, des câbles de téléphérique, et des câbles électriques.

    Parfois, en se baladant, on est choqué de voir ces câbles en pleine montagne. On devrait au contraire se réjouir de constater qu'on sait faire de l'électricité "propre".

     

    La centrale peut se visiter et c'est fort intéressant. EDF vous explique ici comment fonctionne le système. Vous apprendrez qu'il faut remonter l'eau, grâce à des stations de pompage, pour pouvoir mieux la faire descendre. EDF parle surtout du lac de Cap-de-Long, mais il est à deux cols (Tourmalet et Aspin) de chez moi, du côté de Saint-Lary, et je ne suis pas allée là-bas depuis des années.

     

    L'eau qui alimente cette centrale provient, en partie, du barrage des Gloriettes dont je vous parle si souvent (tapez "Gloriettes" dans la case "rechercher" de la colonne de gauche, et vous verrez...). Regardez ici les résultats d'un travail réalisé par l'école de Luz-Saint-Sauveur il y a des explications et plein de photos de 1947 à 1954.

    Il y a 3 ou 4 jours, l'Ours est parti en balade, par les hauteurs, au dessus de Pragnères :

     

    La cueillette de l'eau

    Impressionnant comme vue ! L'Ours a pris sa photo depuis la gare d'arrivée du téléphérique de chantier. Il paraît qu'il y a 1200 mètres de dénivelé.

    La photo suivante, c'est l'autre côté du bâtiment qui est dénommé "l'Ancrage". La petite tour à droite est une "cheminée d'équilibre" qui a une fonction en lien avec Cap-de-Long (je l'ai lu quelque part, mais je me suis empressée d'oublier laquelle).

     

    La cueillette de l'eau

     

    La cueillette de l'eau (1)

    Et ça, Machu-Pichu ? Non, les restes d'une installation pour les wagonnets qui évacuaient les pierres sorties lors du percement du tunnel. Notre montagne est truffée de tunnels et de galeries.

     

     

    La cueillette de l'eau

     

    Il n'y avait pas d'autres randonneurs sur le chemin, mais les marcheurs étaient surveillés. Le voyez vous, l'hôte de ces lieux, caché dans les herbes recouvertes de gouttelettes ?

    La cueillette de l'eau

     

     

     

    La cueillette de l'eau

     

    Il y avait un drôle de nuage à mi-hauteur. Il est resté toute la journée.

     

    La cueillette de l'eau

     

    Et moi, depuis la maison, je voyais le même.

     

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