Par la fourmi
Il y a très longtemps, IsaMiaou m'a offert une adorable théière achetée en Angleterre. Elle m'accompagne partout, et toutes les brodeuses-couseuses qui la voient voudraient la même, croyant que c'est moi qui l'ai faite.
Je la trouve trop difficile à imiter, mais l'Ours pense que ce n'est pas impossible, et il réfléchit à l'art et la manière de procéder.
De plus, elle recèle un petit tube où je loge quelques aiguilles :
Lors du dernier concours "Cousu main" sur M6, Edith qui s'est approchée de la finale avait un superbe pique-épingle qui me plaisait beaucoup. Elle a donné toutes les explications sur son blog Aiguille à l'Ouest.
Et j'ai copié !
Sur cette photo, il manque encore la petite collerette de crème plus foncée à la jointure des deux choux.
Il y a juste un défaut : théière et gâteau sont comme qui dirait disproportionnés. Ou la religieuse est géante, ou la théière ne contient qu'un dé à coudre de liquide.
Je serai dorénavant impardonnable si je laisse traîner une épingle ou une aiguille, car je suis la mieux équipée pour ne pas les poser n'importe où :
Vous voyez le vieux cœur rouge tout rafistolé :
C'est le cadeau le plus surprenant et le plus utile que l'Ours m'ait jamais fait. Il a été tout seul au rayon mercerie des Nouvelles Galeries et m'a offert cette boîte à épingles géniale. C'était un jour de St Valentin, il y a 30 ou 40 ans. L'aimant est super pratique : je "jette" presque les épingles, et elles tiennent. Le plastique montre des signes de fatigue, alors je fais ce que je peux pour la maintenir en vie.
Et là, vous avez ma collection complète, avec tout à gauche ma première création datant de la fin des années 70.
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