Par la fourmi
J'avais prévenu : je suis restée sans connexion un bon nombre de jours. Nous avons de nouveau accès au téléphone fixe et à Internet.
Tout ça après avoir parcouru à peu près 8 kilomètres, et descendu à peu près 550 mètres d'altitude (oui, oui : c'est bien 8 km et 550 m).
Je n'en pouvais plus de vivre dans l'isolement et le froid, alors j'ai tanné l'Ours jusqu'à ce qu'il accepte qu'on descende vivre sous des cieux plus cléments, et plus près de la civilisation.
Nous avons loué un appartement au premier étage de cette maison, avec un assez long balcon où j'ai pu transporter quelques plantes de mon jardin.
Voilà ce que je vois au dessus des palmiers que je vous montrais la dernière fois.
Et une première idée de notre nouveau cadre de vie, juste après livraison de nos premiers meubles (à peu près le même endroit que sur la photo de la fois précédente où le lit n'était pas encore monté, et les cartons pas encore vidés)
À travers les palmiers, on voit les moutons passer deux fois par jour. Ils ont fait comme nous : ils sont descendus de la montagne.
Nous avons réussi à bien nous installer, et à soigner la déco. Suite au prochain numéro.
Maintenant, il me reste à espérer que l'Ours se trouvera bien "à la ville", qu'il voudra bien que l'on vende notre maison, et qu'on puisse en acheter une autre dans cette vallée accueillante.
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