•  

    Dans ma liseuse, il y a un peu de tout, ce qui me permet de découvrir des auteurs que je n'avais jamais lus.

    Je connaissais Agnès LEDIG par son premier livre "Marie d'en haut" qui fut un très grand succès, et qui m'avait été prêté par une de mes filles. J'ai encore plus aimé "Juste avant le bonheur". Ces derniers jours, je viens de m'apercevoir que j'avais aussi "Pars avec lui" du même auteur. Un vrai bonheur pour moi. De la tendresse, de l'amour, de la drôlerie malgré les drames, et plein de choses sur la vie, écrites très joliment.

    Je vous conseille très vivement de lire Agnès LEDIG si vous ne la connaissez pas encore. Il faut savoir qu'elle s'est mise à l'écriture pendant la maladie qui a emporté un de ses enfants. Chaque livre est plein d'espoir. Bien que la situation semble souvent désespérée, il y a toujours du positif, la vie l'emporte.

     

     

    Puis Agnès DESARTHE "Ce cœur changeant", grand prix littéraire du "Monde" en 2015. Je n'ai rien lu d'autre de cet auteur. Elle écrit très bien, mais je ne suis pas vraiment entrée dans cette histoire de fille de famille riche qui vient vivre une vie de pauvresse en France au début du XXe siècle. On voit très bien la misère du peuple, la vie (trop) aisée des riches, le gouffre qui sépare ces deux mondes. Il faudrait que je lise un autre ouvrage d'Agnès Desarthe pour profiter de son écriture dans une histoire plus à mon goût.

     

    J'avais envie de lire quelque chose d’Éliette ABÉCASSIS. Pas d’Éliette, mais une Agnès dans ma bibliothèque. Va pour une troisième Agnès. Des petits livres sympathiques, avec des héroïnes fofolles "Toubib or not toubib"  et "Chouette, une ride !". Très décalés par rapport à notre réalité de gens raisonnables : ça fait du bien de changer d'air. Agnès Abécassis, c'est une bouffée d'oxygène dans ce monde trop sérieux.

     

    Dans ma liseuse, il y a quantité de titres pour m'occuper une éternité. J'ai déjà lu assez pour continuer à jouer à la chroniqueuse littéraire. Maintenant que la position assise ne m'est plus inconfortable, je vais revenir plus souvent vous raconter ma vie et mes lectures.

    À bientôt donc.

     

     

     

     

     

     


    4 commentaires
  •  

    Gilles LEGARDINIER est un auteur dont je vous avais déjà parlé ici à propos de "Demain, j'arrête"

    J'avais vraiment adoré ce premier livre lu de lui, et c'est chaque fois un plaisir de se laisser porter par ses personnages. Il ne m'a jamais déçue. Des amis à qui j'en ai parlé sont devenus accros eux aussi, et nous faisons des échanges.

     Nous avons lu Complètement cramé ! (2012), Et soudain tout change (2013), ça peut pas rater! (2014), Quelqu'un pour qui trembler (2015).

     

     

    Avec joie, j'ai vu que j'avais dans ma liseuse "Le premier miracle".

    Cet ouvrage (Flammarion 2016) est dans un style différent des cinq premiers que j'ai lus. Il est beaucoup plus gros, et il mélange allègrement la mythologie, l'histoire, l'espionnage, l'alchimie, l'ésotérisme, etc... le tout agrémenté de son humour habituel.

    Tout au long de ma lecture, je pensais au mythe de la toison d'Or, à la quête du Graal, et aussi un peu à James Bond ! Plus j'avançais dans ma lecture, plus je me réjouissais qu'il me reste encore beaucoup de pages à lire.

    J'ai abandonné toute idée de démêler les faits historiques réels et la fiction. Mais l'auteur a pensé à tout, et après avoir fini le livre, on peut trouver des explications.

     

    Encore de la lecture

     

    Récemment Gilles Legardinier a écrit, avec Mimi Mathy, un livre sur la différence.

     

    D'après l'éditeur, c'est un roman. Connaissant les deux auteurs, je me dis que ce livre doit être fort intéressant à lire.

     

     

     

     

     

     

    Gilles Legardinier est l'un des auteurs français les plus lus, mais il n'est pas très connu du public : comment comprendre ça ?

    Je vous souhaite plein de lectures dans un bel été.

     

     

     

    Pin It

    7 commentaires
  •  

     

    Jolie fourrure ?

     

    J'ai trouvé ça joli, et je me suis dit que j'allais vous demander de quoi il s'agit.

    Cékoissa ? ? ?

     

    J'ai plein d'idées d'articles, ou même d'articles commencés, mais mon cerveau n'est pas très performant ces derniers temps.

    Alors, je joue. Vous aussi j'espère.

    À très bientôt

     

    Les explications sont ici.

     

     

    Pin It

    14 commentaires
  •  

    Pov' fourmi ! Elle a mal à ses genoux, et elle a mal à son moral. Jamais période électorale n'a été aussi difficile à vivre !

    Je suis certaine que beaucoup de français se demandent comme moi quoi faire dimanche 7 mai prochain... j'ai un peu étudié la question.

    Ou on apprécie un des finalistes, et tout va bien.
    Ou on vote pour un des deux candidats par dépit... peut-être la mort dans l'âme.
    Ou on s'abstient : ce n'est pas un bon plan car on passe pour un je-m'en-foutiste.
    Ou on vote nul : mais ça peut passer pour une erreur.


    Ma conclusion, c'est qu'il vaut mieux voter blanc : on met un bulletin blanc de la même taille que les bulletins réglementaires, ou rien du tout dans l'enveloppe. On a fait son devoir de citoyen et celui qui sera élu saura combien d'électeurs n'ont pas voté pour lui. Il ne pourra pas se glorifier de 82% de voix comme Chirac en 2002.


    La loi du 21 février 2014 fait une différence entre les blancs et les nuls.
     
     
    Cela sera la première fois de ma vie (et j'espère la seule) que je n'exprimerai pas un choix. Je n'arrive pas à me décide à voter pour quelqu'un qui ne me plaît pas. Le Parti du vote blanc vous explique ici comment fabriquer votre bulletin.
     
    Ici, le Ministère de l'intérieur écrit sur le site du Sénat qu'il n'y a pas de dimension ni de grammage à exiger. Il semblerait que ça a cafouillé pour la mise en œuvre de la loi.
     
    Le bulletin invisible est peut-être le plus simple : rien dans l'enveloppe = blanc. Comme quand Coluche expliquait que les lessives lavant plus blanc que blanc faisaient du transparent.
     
    Et au jardin ? Période difficile aussi. La neige blanche a laissé place à la verdure, aux tiges de fleurs cassées, ou aux bouts de branches tout racornis. Les conséquences de cette neige tardive sur printemps précoce ne seront pas visibles pendant cinq ans. Un cycle ne dure qu'un an...
     
    Pin It

    9 commentaires
  •  

    Première résolution pour 2017 : être plus sérieuse. Sérieuse dans le sens d'appliquée, présente. Pas dans le sens rabat-joie.

    La preuve ? J'ai fait des articles "comme si j'étais là", alors que j'étais chez Titi Joli. Peut-être que cette absence de quelques jours m'aura donné de bonnes idées. On verra...

    En attendant, j'exploite seulement une phrase que j'ai en tête depuis mon adolescence.

     Une amie de toujours faisait du grec et m'avait appris une phrase très vulgaire : "Où qu'est la bonne Pauline ? à la gare, elle pisse et fait caca". En fait, ce n'est qu'une vague interprétation phonétique d'un texte grec qui veut dire tout autre chose, mais on n'oublie pas un truc aussi rigolo.

    Grâce à Internet, je viens de chercher et de trouver la traduction. Parmi les explications, j'ai retenu cet article décortiquant aussi un texte latin qui m'a fait rire aux larmes. Même sans rien y connaître en latin, lisez-le, c'est irrésistible. Ça vous fera penser aux Babaorum et Petibonum d'Astérix.

    Souvent, en tombant sur quelque chose d'amusant, je me dis que la fourmi va s'en servir : mais la fourmi "glandouille" et s'arrête en chemin. Dans une fable de la Fontaine, je serais le lièvre sans cesse distrait, et qui est incapable de se concentrer.

     

    J'avais programmé ce billet, mais revenue plus tôt que prévu, je "l'agrémente" en faisant un peu de hors sujet : je viens de lire vos gentils commentaires (que vous avez écrit depuis votre maison douillette pendant que je me gelais chez Titi) et je m'aperçois que j'ai oublié de mesurer les objets de la photo-mystère de mercredi 18 : ils font 14 cm, ne se ferment pas comme des épingles, et je les trouve bien trop biscornus pour servir aux mailles en attente d'un tricot.

    L'Ours m'aide  à déchiffrer. Il lit 1/8    ?/?  3/8  1/2  5/8

    Les chiffres se présentent comme les fractions que l'on apprend à l'école, mais je ne sais pas écrire ça avec mon ordi.

     


    9 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique