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     Que dois-je faire réviser ? Ma voiture ? Ma chaudière ? Non, non, c'est moi qui ai besoin d'être entretenue (pas comme une cocotte non, mais entretenue par la médecine). Je critique souvent Big Pharma et le système médical, mais j'y ai parfois recours quand mon vinaigre des quatre voleurs est impuissant.

    - Toujours inquiète à cause de ce fichu Covid, j'ai fait faire la quatrième injection.

    - J'ai rendez-vous chez l'ophtalmo en novembre. Je ne l'ai pas vu depuis des années, alors un petit contrôle est peut-être nécessaire.

    - Après presque un an d'essais infructueux j'avais réussi à montrer ma peau à une dermatologue : elle m'enlève un carcinome lundi qui vient.

    - À force d'accumuler les petits tracas de la vie, je sentais que j'allais mal, de plus en plus mal. Mon médecin m'a prescrit des pilules jaunes pour voir de nouveau la vie en rose. Je reproche à mon Ours d'être trop souvent bougon, j'étais devenue pire que lui. Je grognais tout le temps et je ne faisais plus rien. Les fourmis, ça court tout le temps partout, mais moi je ne tournais pas rond, ou je tournais en rond. Ça va mieux, j'ai pu aider une amie à faire un sac comme les miens, et du coup j'en ai fait un autre pour moi.

    - Ma petite vie tranquille fut perturbée le 16 juillet. Je m'étais levée vers 4 heures, comme cela m'arrive régulièrement la nuit car ma vessie attend rarement le matin. Puis, recouchée, une douleur dans le bras gauche persistait : ce n'était pas une crampe provoquée par une mauvaise position. Je me suis relevée, j'ai marché, bougé le bras : ça continuait. L'Ours s'est levé à son tour, et j'ai fini par appeler le 112, le n° d'urgence à appeler depuis les portables. On ne m'a pas ri au nez, et au bout de trois interlocuteurs, on m'a dit que, comme il était impossible de trouver un médecin à cette heure-là, il fallait que je me rende aux urgences à Lourdes. Je connais bien cet hôpital où j'ai été opérée deux fois (prothèses des genoux), où je vais voir la cardiologue, et où j'ai maintenant une dermatologue.

    J'ai donc fait la connaissance des urgences à 5h30 du matin. Sitôt arrivée, revêtue de la chemise de nuit réglementaire, en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire, je me suis retrouvée avec une perfusion à droite, une prise de sang sur la main gauche, branchée de tous côté à un moniteur multi-paramètre médical (un brassard pour la tension, une pince au bout d'un doigt pour surveiller mon oxygène, des électrodes partout) et deux comprimés sous la langue. Mes veines sont souvent difficiles à atteindre, mais tout s'est bien passé. Je me sentais bien, sauf que la drôle de douleur persistait. Pas violente, mais elle m'inquiétait énormément. Mon père est mort sur le tapis de son salon et le frère de ma mère est tombé mort à 71 ans, en descendant du train, sur le quai de la gare d'Austerlitz. J'aurais eu la même douleur au bras droit, je n'aurais pas alerté tout le département.

    Après une matinée de surveillance étroite, et une échographie faite par le "grand chef cardiologue", je fus libérée en début d'après-midi. Libérée, mais surtout rassurée. Je n'avais pas eu un infarctus, tout était normal. On m'a juste prescrit, sans caractère d'urgence, une échographie de stress en novembre.

     

     

    Révision générale

     

     

     

     

     

     

    Voilà la fourmi, qui ressemble plus à une baleine qu'à un petit insecte, libérée de son appareillage, presque totalement libérée puisque l'Ours a eu le droit de venir la retrouver.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    - Depuis plusieurs années, j'ai l'impression que ma tête divague, que je perds les noms des gens et des plantes, que j'oublie tout, que je perds de plus en plus les choses, que j'ai toujours la flemme, que je "glande" toute la journée,etc... Mon médecin a beau me dire que tout va bien, j'ai réussi à avoir un rendez-vous (encore à l'hôpital) pour une "consultation-mémoire". J'ai eu un entretien avec une "médecine" charmante, tout s'est bien passé, et pour me rassurer complètement elle m'a prescrit un IRM du cerveau. Après deux essais où Orange me disait que le numéro de l'hôpital n'est pas attribué, j'ai fini par obtenir (en composant toujours le même numéro qui est bien attribué) le répondeur du service. Du jamais entendu : ils ne prennent pas de RV par téléphone ! ! ! Il faut envoyer un FAX (je n'ai pas ça chez moi), un mél avec copie de l'ordonnance (je ne sais pas scanner) ou un courrier papier ! ! ! Comme dit l'autre, il faudrait presque que je prenne un char à voile pour aller sur place prendre mon rendez-vous. Mais je vis au pays des parapentes, et Tarbes, où se situe l'IRM, est dans la plaine, il faudrait que je revienne en autostop.

     

    Le trois août, notre municipalité nous a offert un spectacle dont je n'imaginais pas pouvoir profiter si près de la maison : Joan de Nadau est venu chez nous ! Dommage que la pluie se soit mêlée à notre soirée. Nous avons eu un spectacle tronqué. C'est le risque des spectacles en plein air.

    J'avais déjà parlé de Nadau ici. J'ai trouvé un autre truc qui dure très très longtemps sur YouTube. C'est entrecoupé de diverses choses, après les 6,26 minutes de paroles, vous cliquez et ça continue encore et encore. Vous y verrez des extraits de spectacles comme si vous y étiez. Et si Nadau passe près de chez vous, allez-y : bonne soirée assurée.

     

    Révision générale

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Bon, je reprends du "poil de la bête" (expression non adaptée pour une fourmi, ni pour l'humaine que je suis qui ne veut pas de fourrure sur tout le corps) et je vais peut-être venir vous retrouver plus régulièrement.

    J'espère que le temps a été plus sympa avec vous, que vous avez pu profiter de quelques averses et de périodes moins chaudes.

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    La quasi totalité de la France métropolitaine se plaint de canicule et de sécheresse. Marithé et Alain ont montré quelques images affligeantes de leur si beau jardin. Vous savez que dans ma montagne, à part que nous avons eu des chaleurs inhabituelles la journée, tout va bien.

    Mais je me demande qui serait prêt à supporter les hivers de chez moi et tous leurs désagréments. Parce que, entre venir profiter une semaine des joies de la neige, et vivre DANS la neige pendant des mois, il y a un grand pas.

    Ça peut commencer vers le 10 novembre.

    Ça peut finir vers la mi-mai.

    Ça peut être des périodes entrecoupées de moments sans neige.

    Ça peut aussi être six mois ininterrompus dans le grand blanc.

     

    Il neige régulièrement sur les premières fleurs, et la fourmi se plaint. Les printemps de mon jardin sont déprimants.

     

    Dur été, dur hiver

     

    Dur été, dur hiver

     

    Dur été, dur hiver

     

    Le dicentra n'est plus là, mais la neige sur les jonquilles et le lilas, c'est très fréquent.

     

    Dur été, dur hiver

     

    L'Ours est obligé de faire un passage dans l'escalier. La pire des années, il y avait tellement de neige qu'il a fallu tailler des marches sans essayer de trouver celles d'origine.

     

    Dur été, dur hiver

     

    La véranda est fréquemment cernée par d'énormes murailles blanches.

     

     

    Dur été, dur hiver

     

    Souvent, la ruelle est presque impraticable malgré le passage de la fraise.

     

     

    Dur été, dur hiver

     

    Un soir, alors que nous jouions tranquillement aux cartes avec des cousins, un grand vacarme nous fit sortir : une partie du toit, emporté par la neige, venait de tomber sur la rue. Nous avons posé les cartes, chaussé les bottes et revêtu les doudounes pour libérer l'espace public. Il a fallu trier l'enchevêtrement de bois, métal et ardoises.

     

    Dur été, dur hiver

     

    Ensuite, conseillés et remboursés par notre assurance, nous avons dû faire dégager tout notre toit par un cordiste pour éviter des dégâts supplémentaires.

     

    Dur été, dur hiver

     

    Souvent nous avons besoin de faire revenir les couvreurs car quelques ardoises ont bougé et se sont cassées. D'ailleurs, nous n'avons pas encore fait réparer les dégâts de l'hiver dernier.

     

     Et, quand tout a enfin fondu, chaque printemps, c'est la désolation :

     

    Dur été, dur hiver

     

    Jeunes arbustes tout cassés qui mettent des années à s'installer.

     

    Dur été, dur hiver

     

    Buis qui était taillé en forme de parallélépipède, pareil pour celui qui est en boule.

     

    Dur été, dur hiver

     

    Sauge panachée que j'ai crue morte. Depuis, elle est redevenue belle, mais les mois de mars, avril et mai sont difficles à vivre. Je montrais ici un printemps ordinaire.

     

     

    Dur été, dur hiver

     

    Tentative pour vous montrer le petit massif créé l'an dernier derrière la maison, et où je n'ai pas monté un seul arrosoir cette année.

    Voilà comment ça se passe à 1250 m quand on n'est pas du côté soulane : l'hiver est très long, le printemps difficile, et on mérite bien un été agréable.

    Je vous souhaite une bonne semaine.

     

     

     

     

     

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    Bonjour à tous,

    je ne suis pas perdue, mais j'ai transhumé vers la grande maison et le trop grand jardin. Pour faire des économies de bouts de chandelle, nous n'avons pas ici de ligne de téléphone fixe, et mon portable a un forfait limité : donc, pas possible de passer des heures sur Internet.

    Pourtant, beaucoup de visiteurs viennent rendre visite à la fourmi, ce qui lui fait vraiment plaisir. Des liens se sont créés, et je trouve ça génial.

     

    Juste avant de remonter, je suis sortie un soir sur le balcon, et j'ai trouvé le ciel étrange :

     

     

    Soleil et peau

     

     

    Une drôle de lueur arrivait de derrière les sommets.

    Un grand moment plus tard, la lumière devenait de plus en plus forte :

     

     

    Soleil et peau

     

     

     Ensuite, plus de photos, car aucun de nos appareils n’a voulu photographier cette superbe "lune des fraises". C'était la dernière pleine lune du printemps, et elle était magnifique.

     

    Je vous avais dit que mon jardin était en friche. Je ne sais pas comment arranger ça, alors je m'éparpille, comme d'habitude.

    Par exemple je manie la scie pour tailler les lilas :

     

    Soleil et peau

     

    Je crois que je pourrais nourrir des vaches avec toute mon herbe. Justement, parfois elles descendent au village : les voyez-vous contre notre clôture ?

     

    Soleil et peau

     

    Ah qu'il est agréable de profiter du soleil.

    Les humains et les chats adorent lézarder.

    Voisine avait deux minettes. L'une des deux passait le plus de temps possible sur la murette dès qu'il y avait du soleil. Un jour, Voisine a remarqué que Bébelle avait un bobo sur la pointe d'une oreille. Le vétérinaire n'a pas hésité : cancer de la peau, malgré les poils. Il a coupé un petit bout de l'oreille et le mal s'est arrêté là. Nous avions tous été amusés par cette histoire.

    Il y a quelques années, il est arrivé la même mésaventure à un de nos copains. Il protégeait toujours sa tête avec une casquette : maintenant il porte des Bobs qui protègent les oreilles. Il se méfie enfin du cancer.

    Fin mai, fille aînée nous prévient que, le 20 juin, on va lui enlever un vilain bouton qu'elle a sur le nez. Elle le négligeait depuis trop longtemps... jusqu'au jour où elle a appris que c'était un carcinome (cancer de la peau) et qu'on allait lui faire une petite greffe avec un morceau de peau de joue. Elle a eu une assez grande couture fermée par 10 points de suture. D'après les photos, c'était une vraie opération, et on trouve que le travail a été très bien fait

    Et moi, le 14 juin, après des mois de siège du secrétariat du service dermatologie de l'hôpital, j'ai fini par voir une dermatologue pour lui montrer la quantité de trucs de toutes sortes et toutes couleurs qui me poussent partout sur le corps. Des qui ressemblent à des verrues, d'autres à des dartres. Rien qui m'inquiétait, mais je voulais en faire retirer une partie, par le scalpel ou l'azote, comme on me l'a déjà fait. Et là, surprise : l'espèce de rougeur que j'ai en haut du front, à la limite des cheveux, c'est un carcinome. J'ai moi aussi un cancer de la peau. Pourtant je porte très souvent un chapeau ou une casquette. Parfois, je n'ai qu'un foulard, fini le foulard. La dermato a dit : pas de soleil ou avec un chapeau à large bord, des manches longues et de la crème solaire (même si leur composition est controversée).

     

    Soleil et peau

     

    J'ai une frange légère. Je crains de devoir augmenter son volume après mon intervention. Ci-dessous, la rougeur qu'on voit à peine, sournoise :

     

    Soleil et peau

     

    Si vous êtes curieux cherchez "carcinome" sur Internet : ça vous convaincra de consulter régulièrement un spécialiste pour ne pas arriver au stade où c'est trop grave.

     

    Pour finir, une petite question : où ai-je bien pu voir de l'eau aussi turquoise ?

     

    Soleil et peau

     

     

    Soleil et peau

     

    Pour l'eau couleur des mers du sud, la réponse est ici.

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    On ne peut pas voyager, on ne voit pas vraiment la vie en rose, alors profitons des couleurs qui se présentent.

     

    Avril en couleurs

     

    Pour être honnête, voilà les couleurs que je vois le plus en ce moment : une pour chacun de mes grands-parents et leurs ancêtres respectifs. Mes recherches généalogiques progressent, mon arbre s'agrandit, je me trouve des cousins éloignés, j'adore.

     

     

    Avril en couleurs

     

    Puisque mes recherches tournent autour de Limoges, je vous montre une petite plaque en porcelaine, guère plus grande qu'une carte postale, peinte par mon grand-père.

     

     

    Avril en couleurs

     

    Le chaenomeles est enfin en fleurs.

     

     

    Avril en couleurs

     

    Pour la glycine, on va encore attendre. Où j'hiverne, à huit kilomètres seulement, elles sont presque fanées.

     

    Avril en couleurs

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Mon hellébore rubis est fidèle au poste.

     

     

    Avril en couleurs

     

    Mon assiette d'hier : des légumes-racines mijotés aux épices et une omelette au persil de ma gentille voisine.

     

     

    Avril en couleurs

     

    Le ciel de ce matin, qui avait des couleurs encore plus vives en vrai. On devine un pignon "à pas d'oiseau" (pignon à redents en architecture), typique de nos villages.

     

     

     

    Avril en couleurs

     

    Avril en couleurs

     

    Avril en couleurs

     

     

     

    Ces trois photos n'ont pas des couleurs variées, mais c'est juste pour vous montrer l'envers de la salle Robert Hossein de Lourdes transformée en centre de vaccination.

     

    Super organisation, j'ai pu faire mes photos  sans personnages.

     

     

    Regardez comme les gradins sont bien rangés, et comment la discrétion est assurée grâce aux tentes.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Avril en couleurs

     

     

    Nous voyons ici beaucoup d'oiseaux, des gros, mais ne les reconnaissons pas forcément.

     

     

    Un copain nous a envoyé ce tableau qui nous sera bien utile pour les reconnaître vus de dessous.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Avril en couleurs

     

    Et pour finir, les couleurs des compagnons. Les couleurs sont les sortes de grands rubans, différents selon les métiers. Quelqu'un de proche, qui m'est cher, vient de recevoir le sien lors d'une cérémonie d'adoption.

    Ça fait plaisir de voir des jeunes choisir un vrai métier. Dire que 40% des salariés télétravaillent en ce moment : voilà la preuve qu'on ne produit plus rien en France. Comment arrêter tous ces transports internationaux si on ne fait que de la gestion ?

    Bravo les jeunes !

     

    Continuons à être prudents. Bonne fin de semaine à tous.

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    En ces temps de sinistrose, je pense qu'il faut d'urgence préparer notre Bocal des petits bonheurs.

    J'en ai parlé plusieurs fois, je vais juste vous citer ce que j'aurais pu écrire depuis le début de l'année :

     

    - vendredi 1er : la chance d'être reliés au monde entier par tous ces nouveaux moyens de communication !

    - samedi 2 : RàS, juste restés au chaud, à grignoter de bonnes choses qu'on n’achète que rarement

    - dimanche 3 : j'ai téléphoné un bon moment avec mon tonton de 95 ans, la mémoire de la famille.

    - lundi 4 : je fais, en entrée, une jolie salade haute en couleurs (endive, fanes du navet qui avait poussé dans la réserve à légumes, et radis red meat passé à la mandoline)

     

    Bocal des petits bonheurs

     

    Bocal des petits bonheurs

     

     Voilà la coupe de mon radis.

    L'Ours avait fait la photo, je l'ai utilisée partiellement pour le cékoissa de la dernière fois.

    C'est beau, non ?

    À la Biocoop, je trouve souvent de ces légumes originaux, pourquoi se contenter de l'ordinaire, alors qu'on peut, à moindre frais, égayer notre cuisine ?

     

     

     

     

     

     -mardi 5: ma boulangerie bio qui fait du si bon pain de petit épeautre vient de reprendre après 15 jours de vacances ; Quel bonheur ce pain frais, tout tiède, livré à domicile, alors qu'un épais manteau de neige recouvre tout.

     

    - mercredi 6 : comme la montagne est belle ! Les copines ont fait plusieurs balades en raquettes, sur une neige immaculée, seules au monde dans la nature. Merci WhatsApp où elles publient leurs photos en direct. Mais je n'ai jamais été sportive, je ne peux pas les suivre. L'Ours me "promènera" un jour dans un de ces lieux magiques. Vers le soir, j'aime admirer ce dernier rayon de soleil sur le Létious en face de chez nous :

     

    Bocal des petits bonheurs

     

     - 7 janvier : je défais mon sapin. Toute ma déco est blanche, sauf...les petits coeurs en couleur de l'ange en bois, cadeau d'IsaMiaou en 1999 :

     

    Bocal des petits bonheurs

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Bocal des petits bonheurs

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Il y a des années, j'avais acheté des boules transparentes, pensant les garnir avec des objets faits-maison. Les années ont passé... et en décembre dernier : Tilt ! J'ai coupé en morceaux le tulle (qui traînait d'étagère en étagère sans jamais trouver sa place) qui décorait notre voiture au mariage du fils de Miaou, et voilà, mes boules ne sont plus vides.

     

    Je reviens à l'idée du bocal. ce n'est pas un journal de bord. On n'y met que des choses agréables. C'est une aide au positivisme et à la bonne humeur.

    Là-dessus, je vous souhaite une bonne journée.

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